Excursions personnalisées à Louxor au départ de Hurghada

Saqqarah voyage vous propose de découvrir Louxor en choisissant vous-même les sites que vous souhaitez visiter, et les activités que vous voulez faire. Embarquez pour un séjour personnalisé dans la ville de Thèbes, véritable musée à ciel ouvert.

 

  • Vallée des rois
  • Vallée des reines
  • Vallée des nobles
  • Vallée des artisans
  • Temple d’Hatchepsout
  • Temple de Medinet Habu
  • Temple de Karnak
  • Temple de Louxor
  • Temple d’Abydos
  • Temple de Dendérah
  • Temple de Khnoum [Esna]
  • Colosses de Memnon
  • Tombeau de Toutankhamon
  • Tombeau de Ramsès VI
  • Tombeau de Séthi 1er
  • Tombeau de Néfertari
  • Vol en montgolfière
  • Tour en felouque
  • Son et lumière au temple de Karnak
  • Son et lumière au temple de Louxor
  • Balade en calèche

La Vallée des rois

Dans cette vallée étroite qui serpente entre les reliefs arides du désert se cachent de véritables trésors. Vous êtes ici sur la rive ouest du Nil, du côté du soleil couchant, symbole de la demeure des morts, en opposition à la rive est où se trouvent les temples de Karnak et de Louxor dédiés au dieu Amon. C’est le lieu choisi par les pharaons du Nouvel Empire pour abriter leurs tombeaux. Si les rois des Ancien et Moyen Empire étaient inhumés dans d’immenses pyramides, ceux du Nouvel Empire ont préféré la discrétion afin d’éviter les pillages. De grandes quantités d’or et de bijoux les accompagnaient dans l’au-delà. Parmi les plus beaux tombeaux, vous pourrez admirer ceux de Séthi Ier, Ramsès III, Ramsès IV, Ramsès VI.

La vallée des reines

Au sud de la vallée des Rois, la vallée des Reines est la nécropole des épouses royales, des princes et des princesses des XIXe et XXe dynasties. Moins visitée que la vallée des Rois, elle abrite près de cent tombeaux. Vous y découvrirez des merveilles dans une ambiance plus calme. Ne manquez surtout pas celui de Néfertari, l’épouse favorite de Ramsès II. Avec ses décorations quasi-intactes et ses couleurs vives, c’est l’une des plus belles tombes d’Égypte.

La vallée des artisans

La tombe de Sennefer TT 96

Maire de Thèbes et intendant du jardin d’Amon sous le règne d’Aménophis II, Sennefer était l’un des principaux dignitaires de la cour, issu d’une famille riche et influente. Comme il convient à son rang, sa tombe est l’une des plus belles de la nécropole thébaine, mais aussi des plus insolites. La tombe a été réouverte il y a peu de temps, après être restée fermée plus de cent ans. Elle a été restaurée et offre une chambre funéraire extraordinaire. Le plafond de cette chambre a reçu le nom de « tombe aux vignes » en raison de son décor. Il n’a pas été possible de réaliser des plafonds plats et les décorations ont suivi la forme de la roche. Cela en fait une tombe magnifiquement originale. La surface ondulée et rugueuse donne l’impression de grappes peintes en 3 dimensions. La tombe a été peinte par au moins deux artistes de très grand talent et donne la part belle aux femmes de la famille de Sennefer qui lui montent toute leur affection.

La tombe de Ramose TT 55

Ramose assurait quelques principales fonctions du royaume. Il était noble héréditaire, vizir, maire, directeur des travaux royaux, juge, responsable des prêtres et des temples. Il portait aussi de nombreux titres honorifiques, s’enorgueillissait d’être « un faiseur de vérité et ue ennemi de la tromperie ». Son grand-père était un général, son père, maire de Memphis et responsable des greniers d’Amon, tandis que ses proches occupaient des fonctions officielles importantes. Les scènes présentes dans la tombe sont d’une rare exécution. Ici, pas de scènes de la vie quotidienne. Seuls deux sujets sont traités : les funérailles de Ramose et sa relation avec le pharaon Aménophis IV. Le banquet funéraire présente Ramose et son épouse ; regardez les détails des boucles des cheveux, c’est extraordinaire !

La tombe de Menna TT 69

Menna était scribe des champs du Seigneur des Deux Terres et des études castrales. Sa tâche était importante, et il consacra avec fierté l’essentiel du décor de sa tombe à présenter les différentes activités constituant sa vie professionnelle. Elle date de la fin du règne de Thoutmosis IV et du début du règne d’Aménophis III. Le décor de la tombe est un mélange de traditions et d’innovations. La créativité du peintre est évidente. Il respecta les obligations imposées, mais rajouta des touches humoristiques ; des personnages stéréotypés sur lesquels on voit leur émotion.

Le temple d’Hatchepsout

Difficile de ne pas s’ébahir devant ce majestueux temple funéraire construit à la gloire d’Hatchepsout, l’une des premières femmes pharaon d’Égypte. Bâti aux pieds des montagnes ocre de la rive ouest du Nil, il semble incrusté dans la falaise. Vous serez saisi par la symétrie et la perspective de son architecture. L’édifice est composé de trois terrasses avec, à chaque niveau, un portique soutenu par une rangée de piliers. Sur le troisième portique, observez les piliers à l’effigie de la reine. Elle est représentée en homme avec la barbe postiche, signe de la lutte qu’elle a dû mener pour se faire accepter en tant que femme pharaon. Des rampes d’accès monumentales renforcent la sensation de grandeur. Il n’en fallait pas moins pour inscrire le règne d’Hatchepsout dans l’éternité.

Le temple de Medinet Habu

Bien qu’il ne fasse pas partie des sites les plus fréquentés de Louxor, Medinet Habu est considéré par de nombreux visiteurs comme l’un des sites les plus impressionnants de Louxor. Medinet Habu, commandé par Ramsès III, est un spectacle impressionnant avec son pylône, ses reliefs et peintures originaux encore intacts sur ses murs. Le lieu accueillit pendant des siècles des cultes et des festivals annuels en l’honneur du dieu de la création et de la fertilité.

C’est seulement en l’an 5 que Ramsès III mit sur pied plusieurs expéditions pour trouver les pierres nécessaires à sa construction. Il faudra 10 ans pour l’achever sous la supervision d’un dénommé Amenmosé. Ce lieu ne fut pas choisi par hasard, étant connu par les textes anciens comme le lieu saint dit de la « Colline de Tjamé ou Djeme » sacralisé par un petit temple de la XVIIIème dynastie. Ce lieu marquait en effet l’emplacement de la Création du monde et l’endroit où avaient été enterrés plusieurs dieux primordiaux. Le temple de Ramsès III se situe au sud des autres temples de millions d’années. Il est remarquablement conservé, en comparaison du Ramesseum qui lui a servi de modèle. Dans cette vue de dessus, les différentes structures du temple sont bien visibles. La « tour de garde » est cette étrange structure en quinconce précédée de deux maisonnettes fermant l’enceinte. Le mur d’enceinte culminait à 20 mètres de haut et était défendu par des portes fortifiées dont il ne reste que celle de l’est. Le temple était une véritable ville dont les installations étaient construites en brique crue. Du côté nord, se trouvaient les habitations des prêtres. Du côté sud, le roi fit construire son palais pour y séjourner lors de diverses célébrations

Le temple de Karnak

Dédié au dieu Amon, Karnak incarne à lui seul tout le génie et la démesure des pharaons. Il y a 3 400 ans, ce temple était le plus sacré de la religion égyptienne. Étalé sur plus de 2 km², c’est aussi le plus grand complexe religieux bâti dans l’Antiquité. De nombreux pharaons ont participé à sa construction sur près de 2 000 ans, dont les célèbres Séthi Ier, Ramsès II et Ramsès III. Avec sa forêt de 134 colonnes, la grande salle hypostyle est un chef-d’œuvre d’architecture. Levez les yeux pour admirer la grandeur des colonnes et la finesse des hiéroglyphes. Ne ratez pas non plus l’obélisque érigé par la reine Hatchepsout. Avec ses 29,5 mètres de haut, c’est le plus grand encore debout en Égypte.

Le temple de Louxor

Avec son entrée gardée par les imposants colosses de Ramsès II et un bel obélisque de 26 mètres, le temple de Louxor vous impressionnera dès votre arrivée. En 1830, le deuxième obélisque présent à l’origine a été offert à la France par Mohamed Ali. Il trône désormais sur la place de la Concorde à Paris. Également dédié au dieu Amon, le temple est situé à 2,5 kilomètres de Karnak et les deux sanctuaires étaient reliés par une allée bordée de plus de 700 sphinx qui traversait la ville. Il en subsiste les deux extrémités, ainsi qu’un tronçon mis à jour au centre de la ville moderne. Aujourd’hui, il n’en reste que quelques dizaines que vous verrez à l’entrée. Ils visaient à protéger le pharaon lors de sa procession annuelle entre Karnak et Louxor : la fête d’Opet. À l’intérieur, vous verrez des bas-reliefs qui décrivent cette cérémonie, notamment les offrandes à Amon et les musiciens jouant du tambour.

Le temple d’Osiris à Abydos

Abydos est une ville qui se trouve dans le gouvernorat d’El Wadi el Gedid, au nord- ouest de Louxor. Cette ville est le principal lieu du culte d’Osiris. Abydos se présente comme un centre religieux de grande importance, puisque ce site regroupe des monuments datés de toutes les phases de l’histoire de l’Égypte antique. Parmi les monuments, les plus fameux et les mieux préservés sont datés du Nouvel Empire. Il s’agit du temple funéraire de Séthi Ier et de celui de son fils, Ramsès II. De même, le temple funéraire de Séthi 1er se trouve à Abydos et fut construit durant le Nouvel Empire par les pharaons Séthi 1er et Ramsès II. Le temple des millions d’années de Séthi Ier situé à Thèbes est le véritable temple funéraire du roi Séthi Ier inhumé non loin de la vallée des Rois. Abydos recouvre une superficie de plus de 8 km. Selon le mythe, le dieu a été dépecé par son frère Seth et les prêtres du lieu se sont vus confier la garde de la tête d’Osiris conservée dans un reliquaire. Le site renferme des temples divins, funéraires, des tombes royales et des chapelles, outre que le temple funéraire de Séthi 1er, Ramsès II, il y existe le temple d’Osiris-Khentamentiou, le temple d’Osiris, le complexe funéraire de Sésostris III et enfin le complexe pyramidal d’Ahmôsis 1er.

Le temple de la déesse Hathor à Dendérah

Le temple de Denderah est considéré comme l’un des temples les mieux préservés d’Égypte. Il se situe au sud-est de la ville de Denderah, sur la rive occidentale du Nil, à 60 km au nord de Louxor. Entouré d’un mur en brique de terre crue, le complexe s’étend au total sur 40.000 mètres carrés. À partir de 380 avant J.-C., le temple fut dédié à Hathor, la déesse de l’amour, de la joie et de la beauté. Il était précédemment connu sous le nom de « Château du sistre » ou « Maison d’Hathor ». Le superbe Temple d’Hathor est considéré comme l’ouvrage le plus grand et impressionnant du complexe religieux. Ce dernier comprend en outre le Temple de la naissance d’Isis, le lac sacré, le sanatorium, le Mammisi de Nectanebo II et bien d’autres splendeurs. Restauré pendant l’Empire du Milieu, sa structure actuelle date toutefois du règne de Ptolémée XII et Cléopâtre VII, vers la fin de l’empire ptolémaïque. La face extérieure des murs de l’un des temples présente un énorme relief sculpté de Cléopâtre VII et Césarion, son fils né de Jules César. Des ajouts ont été effectués par la suite jusqu’à l’époque de l’empire romain et le mammisi (« maison natale ») romain, bien que construit par Néron, demeure attribué à l’empereur romain Trajan. Bâtie au cours du 5e siècle avant J.-C., la basilique chrétienne constitue un bon exemple de l’architecture des débuts de l’Église copte. Bien qu’Hathor fût également déesse de la guérison, Denderah fut toujours associée à cette qualité par les voyageurs et les pèlerins en quête du traitement de leur maladie et de la bénédiction des dieux.

Le temple de Khnoum – Esna

Pour qui a du temps et veut sortir des sentiers battus, la découverte de la charmante petite ville d’Esna est un plus. Le clou de la visite est le temple de Khnoum, datant de l’époque ptolémaïque. Khnoum est le dieu du Nil, particulièrement des cataractes. Il est représenté sous les traits d’un homme à tête de bélier, parfois surmontée d’une cruche, tenant la croix ansée (ou clé de vie = ânkh) dans la main. La construction de ce temple commença sous Ptolémée VI et se termina durant la domination romaine, sous le commandement de Claude puis de Marc Aurèle. Le temple, encore en partie enterré, est situé dix mètres plus bas que le reste de la ville.

C’est “notre” Champollion qui l’a découvert : il servait alors d’entrepôt de coton. Voilà comment le recyclage permet à des édifices antiques d’arriver jusqu’à nous ! On visite une salle hypostyle qui a conservé son plafond et présente des parois où sont gravés les hymnes à Khnoum. Magnifique !

Les colosses de Memnon

Ces deux sculptures monumentales, dans la ville de Thèbes Ouest, se trouvent à proximité de la Vallée des rois. Les colosses de Memnon comptent parmi les plus grandes et les plus importantes statues de l’Égypte antique. Les deux statues en quartzite ont toutes deux plus de 3300 ans et pèsent plus de 800 tonnes, et représentent le pharaon Amenhotep III ; elles se dressaient autrefois devant le premier pilier du temple, peut-être le plus grand d’Égypte dont il ne reste que quelques vestiges.

Le tombeau de Toutânkhamon

Le 5 novembre 1922, Howard Carter découvre une dalle dans le sable d’Égypte. C’est l’entrée de l’unique tombe de pharaon encore inviolée. Elle va révéler au monde la prodigieuse richesse de l’Égypte pharaonique. Le britannique découvre en bas des escaliers, des cartouches qui montrent qu’il s’agit du tombeau de Toutankhamon. Mort à 18 ans, vers 1360 av. J.-C., le jeune roi eut un règne falot et dut attendre 3300 ans pour connaître la gloire ! Il y découvre également une salle remplie d’objets de la vie quotidienne et d’œuvres d’art, y compris des litières et un trône d’or. Au printemps suivant, après avoir enregistré ses premières trouvailles, Carter perce une porte de l’antichambre et découvre… « de l’or, une montagne d’or ! » Sous ses yeux, un coffre en or de plus de cinq mètres de long contenant plusieurs sarcophages et la momie du pharaon. À la différence d’autres momies comme celle de Ramsès II, qui avaient été jetées de leur sarcophage par les pillards… et préservées par l’air sec des caveaux, celle-ci est complètement rongée par les huiles saintes. Il n’en subsiste presque rien. L’exploration des cinq salles du tombeau de Toutânkhamon va livrer plus de cinq mille objets en or, en albâtre et en pierres précieuses, dont le célèbre masque mortuaire du jeune pharaon. L’ensemble est aujourd’hui visible au musée du Caire.

Le tombeau de Sethi 1er

Le tombeau KV 17 a été utilisé comme sépulture pour le pharaon Séthi Ier dans la vallée des Rois, dans la nécropole thébaine sur la rive ouest du Nil face à Louxor en Égypte. Il a été découvert pour la première fois par Giovanni Battista Belzoni le 18 octobre 1817 qui procéda alors à un relevé complet de la tombe et à une copie des fresques et tableaux les plus célèbres. Le sarcophage fut alors enlevé pour le compte du consul britannique Henry Salt et est conservé depuis 1824 au musée Soane à Londres. Par la suite, des éléments ont été prélevés par Champollion (un panneau mural de 2,26 × 1,05 m) et par Rosellini en 1828 et lors de l’expédition allemande de 1845. Ils sont désormais exposés dans les collections de musées européens comme au Louvre, à Florence ou à Berlin. Il s’agit du plus grand tombeau de la vallée. Long de cent mètres, il contient des reliefs très bien conservés dans chacune de ses onze chambres et pièces latérales. L’une des chambres du fond est décorée avec le rituel de l’ouverture de la bouche, qui supposait que les organes de la momie lui servant à manger et à boire, fonctionnaient correctement. Pour les Égyptiens, croyant à l’importance de ces fonctions dans l’au-delà, c’était un rituel très important. C’est l’un des tombeaux les mieux décorés de la vallée, mais il est maintenant fermé en raison des dommages provoqués par le tourisme de masse. Son accès est cependant autorisé quelques semaines par an sur achat d’un billet complémentaire.

Le tombeau de Néfertari

Rivalisant avec les plus beaux tombeaux de la Vallée des Rois, témoins des mystères et de la splendeur de l’Égypte antique, cette perle de la Vallée des Reines, remarquablement conservée, reste le plus bel exemple de l’art funéraire des pharaons du XIIIe siècle avant notre ère ! À sa découverte en 1904, les égyptologues restent bouche bée face à la magnificence de ses peintures et reliefs détaillés aux couleurs éclatantes (bleu, jaune, orange et vert), relevées de touches de noir profond tranchant avec le blanc des murs et des piliers. Cernés de hiéroglyphes et de frises de cobras, on y croise la belle Néfertari vêtue d’un châle transparent, faisant des offrandes ou jouant une partie de senet (ancêtre des échecs), le dieu Rê coiffé de son grand disque solaire, et Maât, déesse aux larges ailes…

Longue de 28 mètres, cette petite tombe de trois pièces creusée 8 mètres sous terre avait malheureusement, comme beaucoup d’autres, déjà été pillée de ses trésors et de sa momie, volatilisée de son sarcophage en bois recouvert d’or. Issues du Livre des morts, les scènes peintes il y a plus de 3000 ans représentent le voyage de la défunte vers l’au-delà. Réputée pour sa beauté et ses précieux conseils, Néfertari était la préférée des huit épouses du pharaon Ramsès II de la XIXe dynastie (mort vers l’an –1213 à 91 ans) qui, amoureux transi, la couvrait d’honneurs, faisant d’elle l’une des rares reines à avoir été divinisées de son vivant ! Restaurée de 1988 à 1992 après avoir subi d’importantes dégradations, elle n’accueille désormais que 150 personnes par jour maximum, moyennant un droit d’entrée dédié à sa préservation, on ne peut y rester que 10 minutes…

Vol en montgolfière

Emerveillez-vous devant un lever de soleil vu du ciel. Découvrez Louxor et ses fabuleux monuments et sites touristiques, lors d’un vol en montgolfière. Vous survolerez quelques vestiges de temples, de nécropoles et de villages de l’ancienne Thèbes. Dans les champs, les paysans sont déjà au travail. Le Nil se distingue entre le vert des cultures. De nombreux de sites sont situés à proximité les uns des autres, de ce fait même si la montgolfière suit le souffle du vent, vous pourrez avoir une vue générale des sites les plus somptueux et bénéficier d’un panorama extraordinaire.

Le soleil se lève à l’horizon, illuminant de couleurs chaudes, les montagnes et les villages. Les ballons colorés alentour remplissent magnifiquement le ciel. Le vent vous porte, mais le « capitaine » qui dirige votre ballon reste maitre à bord. Vous pourrez faire toutes les photos dont vous avez toujours rêvé. Après 45 minutes de vol, la montgolfière redescend doucement pour se poser en douceur. Une équipe d’hommes formés retiennent la montgolfière pendant qu’elle se vide de son air. Le microbus qui vous a pris en charge vous attend pour vous ramener à votre hébergement où un copieux petit déjeuner vous attend.

 

Transfert à l’aéroport et envol pour Le Caire. Puis vol régulier vers la France. Arrivée en France.